COMMENT COHABITER DANS LES CAMPAGNES ?

Empreinte numérique

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Valeur: 6d1a70faeab75c2ff2c067f871158f467d141122d5c3a2c6b15f6355a963bf01

Source: {"body":"<p>L’anthropocentrisme qui consiste à vouloir “valoriser” chaque espace de notre territoire devrait laisser la place à un peu plus d’équilibre : le territoire de la France n’est pas peuplé que d’humains, de chênes ou de vaches, mais surtout d’une multitude d’espèces animales et végétales sauvages qui ont tout autant le droit de vivre que nous, et auxquelles nous DEVONS laisser de la place après avoir tout accaparé pendant des siècles. Il ne s’agit pas de choisir entre forêt de récréation ou forêt de production, il s’agit de choisir entre forêts naturelles laissées en libre évolution, et plantations sylvicoles dédiées à nos activités économiques, production de bois ou espace récréatif. Dans ce cadre là, les forêts \"sauvages\" peuvent être ouvertes à un tourisme “nature” susceptible de générer des profits. Dans ce cadre là, une agriculture respectueuse de la biodiversité peut fréquenter ces forêts en les respectant (parcours temporaires de troupeaux, agroforesterie).\r\nLa PAC doit alors accompagner la filière bois, et ne pas du tout se mêler des forêts naturelles non productives&nbsp;: celles-ci n’ont ni besoin d’argent, ni d’intervention humaine, juste de notre ABSENCE (le confinement récent l’illustre spectaculairement).</p>","title":"Ne pas confondre forêt et plantation ligneuse"}

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